Frédéric

Mon apprentissage de la photographie

Passionné de photo depuis que mon grand-père m'a offert mon premier appareil argentique (c'était dans les années 80!), je n'ai jamais cessé de mitrailler le monde qui m'entoure. Plus tard, après des années passées dans l'imprimerie à travailler la couleur pour mettre en valeur les photos des autres, j'ai décidé de me lancer et de me former pour en faire un métier. Je suis donc titulaire d'un Bac Pro photos depuis 2019.

Mes préférences dans le métier de photographe

J'aime mettre en valeur un objet, un bâtiment ou une situation en travaillant l'angle de prise de vue, le cadrage ou l'éclairage. J'aime faire passer une émotion, un sentiment à travers un simple regard. J'aime qu'on ressente l'ambiance d'un lieu en n'en montrant qu'un fragment ! Bref, montrer la globalité en m'attardant sur un détail.

Mes influences artistiques

J'avoue ne jamais m'être directement posé la question. Mais en y réfléchissant, je me rends compte que mon inspiration a de multiples influences : la peinture, les grands photographes, bien sûr mais aussi la musique.
Pour la peinture, j'aime, classique, les impressionnistes (Monnet, Renoir) mais, moins classique, le fauvisme (Braque) ou le baroque (Le Caravage ou Georges De La Tour) pour la finesse de leurs portraits, l'harmonisation des couleurs et leur maîtrise des lumières, chacun à leur façon.
De grands photographes tels que Doisneau, capa ou Salgado m'inspirent. J'aime leur façon de retranscrire la puissance d'un instant, la force d'une culture ou la magie d'un moment à travers un instantané, une photo en couleur ou en noir et blanc.
Quant à la musique, que j'en joue en soufflant dans mon saxophone ou que je l'écoute, elle berce mon quotidien. Aretha Franklin, Sydney Bechet ou Claude Nougaro influencent à coups sûrs ma perception de la photographie.

A propos de moi

Frédéric Duthier, une petite quarantaine, père de 4 enfants agés de 18 mois à 21 ans. je vis à Bordeaux avec toute ma petite famille.
Il y a deux ans maintenant, j'ai fait de ma passion mon métier. Certains diront crise de la quarantaine ! Je pencherai plutôt pour le courage d'enfin prioriser la passion par rapport à la raison.