François

Mon apprentissage de la photographie

J'ai appris en photographiant les avions qui me passionnaient et ensuite d'une manière professionnelle dans une agence de communication. J'ai pris en photo de la boîte de conserve à la jolie vendeuse posant avec les robes de l'été. Sans oublier les vélos qu'il fallait détourer. Les spécialistes apprécieront. Le souvenir le plus incroyable ? la prise en photo d'un cochon coupé en morceau par le boucher pour une foire au porc !

Mes préférences dans le métier de photographe

Je suis photographe de presse dans l'âme. Depuis une vingtaine d'années mes photos sont publiées soit pour présenter un produit lorsque je travaillais dans l'agence de communication ou aujourd'hui pour présenter une personne liée à un article.

Pour avoir discuté avec une jeune photographe de talent, nous n'aurons jamais la même description d'une belle photo. Le photographe de presse préfère un cliché pris au vol qu'un coucher de soleil...

Mes influences artistiques

Je n'ai pas la prétention d'être influencé par intel ou intel. J'aime le travail de Robert Doisneau. Je me dit qu'il aurait rêvé devant mon Nikon.
Ceci dit, je pense que le photographe amateur ou professionnel est le témoin de son époque. J'ai dans une boîte à biscuit les photos prises par un oncle et ensuite ma grand-mère de toute la famille durant les années 40 et 70. Le tenues vestimentaires, les réunions de famille et l'intérieur des maisons sont des visions précieuses d'un passé qui s'oublie vite.

A propos de moi

Bonjour, j'ai commencé la photo dans une agence de communication. Il fallait prendre en photos les produits, puis les modèles pour les robes d'été des catalogue de la grande distribution. Ensuite, je suis devenu rédacteur en chef d'une revue aéronautique. Cela a été une succession de portraits de pilotes et d'avions. Aujourd'hui, je collabore comme correspondant de presse pour la Presse régionale tout en faisant fonctionner mon agence de communication. Dernièrement, (pour rendre service) j'ai fait les photos d'un mariage de gitans, si au début j'avais des réserves, j'en garde le souvenir d'un moment incroyable. Tout le savoir-faire du journaliste a été nécessaire. Pas de poses, tout dans la précipitation et la joie du moment. Je vis dans le Gers et j'aime ce département pour sa joie de vivre. Aujourd’hui, je souhaite mettre mon savoir-faire au service du plus grand nombre.